La 4G est arrivée à Grenoble

La téléphonie mobile de 4ème génération est arrivée sur Grenoble
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Source: le Dauphiné

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La vérité sur le VDSL2

Acronyme de Very High Speed Digital Subscriber Line 2, le VDSL2 est un protocole de transmission de données à haut débit vers un site à travers une paire de cuivre. Au contraire de tout ce qui a pu être dit dans la presse ces derniers mois, le lancement en France du VDSL2 est prévu au plus tôt à l’automne 2013.

Pour lire le communiqué de presse

Source: www.nerim.fr

 

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En 2012, Skype aurait représenté un tiers du trafic global des appels IP

Skype affiche sa montée en puissance, avec une augmentation de son trafic, pour 2012, de 44%.

C’est une étude du cabinet d’analyses TeleGeography, relevée par Ars Technica, qui l’affirme : désormais, en volume de trafic, les appels via Skype représentent 1/3 de l’ensemble des communications téléphoniques mondiales.

“Sur les 20 dernières années, le trafic international des appels a augmenté à un taux important d’un peu plus de 13% chaque année. La croissance a surtout été rapide à la fin des années 1990 et au début des années 2000.”

Croissance traditionnelle plus faible

La libéralisation du marché des télécoms dans de nombreux pays à la fin des années 90, l’arrivée des téléphones mobiles, des cartes prépayées – permettant des appels internationaux à moindres coûts – ont poussé la croissance du trafic d’appels téléphoniques vers le haut. Jusqu’à un record de 490 milliards de minutes en 2012.

La croissance est cependant nettement plus faible depuis 2008. En cause : la prise de relais des solutions logicielles sur le réseau IP, à l’instar de Skype et Google Voice. Elles ont connu une croissance importante, cannibalisant doucement le marché de la téléphonie dans son ensemble.

Aujourd’hui, ces solutions de VoIP représentent une partie importante du marché. En publiant la mise à jour de ses chiffres hier, TeleGeography a mis en parallèle la croissance du trafic de Skype et des appels globaux de façon plus précise :

 

“All-IP telco” ? Selon l’estimation du cabinet, la croissance du trafic, voix et vidéo confondues, de client Skype à client Skype, a été de 44% en 2012. Ce trafic atteint désormais 167 milliards de minutes, estime TeleGeography, soit plus du tiers du trafic téléphonique global.

De quoi mettre encore un peu plus la pression sur les réseaux et opérateurs téléphoniques traditionnels. Et peut-être se rapprocher, comme le relevait récemment un autre article d’Ars Technica, du concept de “all-IP telco” mis en avant par AT&T

Source: http://www.zdnet.fr

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Les chiffres officiels de couverture pour les mobiles “sont faux”

(AFP) – L’Association française des utilisateurs de télécommunications (Afutt) assure que les chiffres officiels de couverture du territoire par les opérateurs de téléphonie mobile “sont faux” et demande le changement des critères qui servent à les calculer.

“Le taux de couverture réel est très inférieur au taux officiel”, selon l’Afutt qui vise ainsi les quatre opérateurs Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free Mobile, dans un communiqué publié vendredi.
L’association estime que “chacun constate une différence importante et persistante entre les taux régulièrement affichés par les instances publiques qui se situent entre 98 et 100% de couverture, et la perception des utilisateurs qui, en très grand nombre, témoignent jour après jour de la difficulté d’accès au réseau”.
Pour l’association de consommateurs, l’explication de ce “grand écart” se trouve dans les règles adoptées par l’Autorité des télécoms (Arcep) qui fixent les critères minimum à observer, sur une zone déterminée, pour la considérer comme couverte.
Ces critères, qui n’ont pas été revus depuis 2007, “n’ont plus aucune valeur”, selon l’Afutt qui donne comme exemple le fait qu’assurer la couverture du centre d’un bourg suffit pour considérer que la totalité du bourg est couvert, et qu’ils ne sont calculés qu’en usage piéton, soit pas plus de 5 km/h de vitesse de déplacement.
Ces critères sont “totalement obsolètes à l’heure où l’usage du téléphone mobile s’étend massivement vers l’internet” et peuvent encore “davantage creuser la fracture numérique”. Plus grave, “ils ne permettent pas de garantir l’acheminement des appels d’urgence”, ajoute l’association.
L’Afutt demande donc le changement de ces critères, s’agissant notamment: de la durée garantie de communication, de la disponibilité d’un débit minimum d’1 mégabit/seconde, et de la possibilité d’accès au réseau en situation de mobilité.
“L’application de ces nouveaux critères se traduira naturellement par une forte multiplication du nombre de +zones blanches+ (sans réseau, ndlr) sur notre territoire. C’est le prix de la vérité”, estime l’association.

Source: www.commentcamarche.net

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Téléphonie mobile/ Très haut débit : une stagnation des investissements toujours préoccupante

Le marché des communications électroniques poursuit sa progression en France, avec 1,3 million d’abonnés supplémentaires enregistrés sur un an et des investissements soutenus sur le marché de gros. Mais ces chiffres masquent aussi la faiblesse persistante des investissements sur le FTTH (Fiber to the home). Ils progressent de 39%, mais ne représentent en volume que 445.000 prises raccordables par an, soit une performance très inférieure au nécessaire pour atteindre les objectifs de couverture ambitieux qui ont été fixés. Les résultats de l’observatoire des marchés des communications électroniques pour le 1er trimestre 2012 que l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de publier, confirment le dynamisme de l’industrie et des services télécoms en France. Un dynamisme d’abord tiré par les consommateurs toujours plus nombreux à s’équiper, mais qui pour l’essentiel profite aux technologies xDSL. Ainsi, sur les nouveaux foyers disposant d’un abonnement haut ou très haut débit la progression des différentes technologies s’établit à 1,3 million pour le xDSL (+5,1%), 117.000 pour les accès fibre optique avec terminaison coaxiale (+14%) et seulement 82.000 pour le FTTH (+59%). Cette croissance porte désormais à 23,1 millions le nombre de foyers connectés. Des investissements soutenus malgré l’atonie du FTTH Les investissements demeurent également soutenus. Mais, une nouvelle fois, c’est bien le haut débit fixe qui tire le marché. Le dégroupage se poursuit pour atteindre le seuil de 6.100 NRA (noeuds de raccordement abonnés) faisant passer le niveau d’éligibilité de la population aux offres dégroupées à 85,5%. Côté fibre optique, s’il ne profite pas totalemen t au FTTH, le déploiement des opérateurs alternatifs se poursuit. Ils utilisent de manière croissante l’offre d’accès aux infrastructures de génie civil de France Télécom dont les demandes de locations ont pratiquement doublé sur un an en passant de 3.290 km à 6.514 km. Il s’agit principalement de fourreaux, pour des déploiements de fibre optique, ce qui traduit bien une détermination à investir dans les réseaux FTTH mais non encore effective sur la croissance des logements éligibles. Seul point sombre, le nombre de logements raccordables par an au FTTH reste faible et même régresse au premier trimestre 2012 (-2%), ce qui inquiète les collectivités locales et les industriels du secteur. Pour atteindre les objectifs initialement fixés d’une couverture à 100% d’ici 2025, ramenés à 2022 par la nouvelle équipe gouvernementale, les investissements devraient être déjà entrés dans une phase de forte accélération pour espérer atteindre rapidement un ryt hme de croisière cinq à six fois supérieur. C’est donc bien un des principaux défis qu’aura à relever dans les mois à venir la nouvelle ministre chargée des PME et de l’économie numérique, Fleur Pellerin, et qui suscite déjà des réactions. Ce 1er juin, dans une lettre ouverte adressée au président de la République, Yves Rome, le président de l’Avicca, tirait la sonnette d’alarme sur la faiblesse de l’engagement des opérateurs et proposait une dizaine de mesures d’urgence pour y remédier (voir ci-contre notre article de ce jour).

Source :  www.localtis.info

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La révision de l’Hadopi

La révision de l’Hadopi va commencer et c’est Pierre Lescure, l’ancien patron de Canal+, qui sera chargé de piloter la commission de concertation. D’après le calendrier fixé par Fleur Pellerin, il aura six mois pour écouter tous les acteurs de la filière.

Trois jours après l’intervention de Fleur Pellerin, notre nouvelle ministre de l’Economie numérique, sur France 3, où elle annonçait que la révision de l’Hadopi était prévue dans les six prochains mois. Le journal Le Monde a appris de source gouvernementale que Pierre Lescure, l’ancien patron de Canal+ et actuel directeur du théâtre Marigny, dirigera la commission de concertation sur l’Hadopi.

Durant les mois à venir, Pierre Lescure aura pour mission d’écouter tous les acteurs concernés par la lutte contre le piratage sur Internet, des artistes aux consommateurs en passant par les maisons de disques.

Jugeant l’Hadopi inefficace et clivante, François Hollande avait promis durant sa campagne de revoir le dispositif dans le cadre de l’acte II de exception culturelle. Cette mission ressemble a un cadeau empoisonné pour le créateur des Enfants du Rock. Comment ménager les ayants-droit tout en rendant l’Hadopi moins répressive ? Sera-t-il plus enclin à protéger les artistes ou à s’attaquer au majors comme Vivendi qui ne l’a pas ménagé il y a dix ans. Espérons qu’à l’issue des débats, personne ne l’aura « In the baba ».

Source : Le Monde
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ARCEP

LE 20 MAI 2005, L’ART EST DEVENUE L’ARCEP
L’Autorité de Régulation des Télécommunications (ART) avait été créée par la loi de 1996 pour réguler le secteur des télécommunications. En 2005, le législateur a souhaité lui confier également la régulation des activités postales. C’est ainsi que l’ART est devenue l’ARCEP : l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes.

LES MISSIONS ET ATTRIBUTIONS DE L’ARCEP
1.Télécommunications
– L’analyse des marchés
– Du régime de l’autorisation au régime déclaratif
– L’attribution et la gestion des ressources rares
– Le service universel
– La régulation tarifaire
– Le règlement des différends
– La procédure prévue à l’article L. 36-11 du code des postes et des communications électroniques
2. Secteur postal

LA RÉGULATION DES TÉLÉCOMMUNICATIONS ET LA CRÉATION D’UNE AUTORITÉ SECTORIELLE

Un processus d’ouverture initié par la loi de 1996

La création d’une autorité administrative indépendante pour réguler la concurrence dans le secteur des télécommunications est la conséquence de l’ouverture à la concurrence de ce secteur, auparavant en situation de monopole légal, en dehors du secteur de la téléphonie mobile.

L’ouverture d’un marché présentant de très fortes barrières à l’entrée nécessite en effet une régulation sectorielle, complémentaire au droit commun de la concurrence, pour permettre l’entrée de nouveaux acteurs et le développement d’une concurrence. En outre, les facteurs technologiques et les structures de coût qui conduisent naturellement à une situation de monopole ne disparaissent pas avec l’ouverture du marché.

Toutefois, la régulation sectorielle sera appelée à progressivement s’effacer au profit du droit commun de la concurrence à mesure que les conditions concurrentielles sur les différents segments du marché des communications électroniques seront satisfaisantes.

En France, c’est la loi du 26 juillet 1996 qui a ouvert le secteur des télécommunications à une concurrence totale programmée le 1er janvier 1998 et qui a créé l’ART, mise en place le 5 janvier 1997.

L’ART a fonctionné depuis sa création sur la base la loi de 1996 qui avait organisé l’ouverture à la concurrence du secteur en transposant des directives européennes datant du début des années 1990. Une autre période s’est ouverte en juin 2004 avec la transposition en droit français du ” paquet télécom “, nouvel ensemble de directives adoptées, suite à un processus de révision, début 2002.

Un cadre réexaminé en 2002 et transposé en droit français en 2004

Le processus législatif de transposition des directives de 2002 s’est achevé en France le 3 juin 2004 avec le vote de la loi relative aux communications électroniques et aux services de communication audiovisuelle par le Parlement.

Trois lois organisent le secteur des télécommunications en France et définissent les pouvoirs du régulateur :

  • La loi relative aux communications électroniques et aux services de communication audiovisuelle (dite de transposition du “paquet télécom”) adoptée le 3 juin 2004 (Loi n° 2004-669).

Cette loi vise à adapter la régulation sectorielle à la diversité des situations de concurrence sur les différents marchés et à prendre en compte la convergence des technologies. Elle donne à cette seconde et nouvelle étape de la régulation une dimension plus économique et communautaire.

  • La loi pour la confiance dans l’économie numérique (LEN) adoptée le 22 juin 2004 (Loi n° 2004-575).

Cette loi précise un certain nombre de modalités d’exercice des activités de télécommunications comme, par exemple, la possibilité, pour les collectivités locales, d’exercer l’activité d’opérateur ou bien encore le mode de calcul de la contribution des opérateurs au service universel.

  • Enfin, la loi relative aux obligations de service public des télécommunications et à France Telecom adoptée le 31 décembre 2003 (n° 2003-1365).

Cette loi intègre des modifications réglementaires liées à la transposition de la directive sur le service universel et les droits des utilisateurs au regard des réseaux et des services de communication électroniques. Ainsi, France Télécom n’est plus l’opérateur en charge du service universel désigné par la loi et la désignation du ou des opérateurs en charge du service universel se fait désormais sur appel à candidatures.

Les principaux objectifs poursuivis par le législateur sont de :

  • favoriser ” l’exercice au bénéfice des utilisateurs d’une concurrence effective et loyale “.

La concurrence n’est pas une fin en soi ; elle a pour objectif de fournir aux consommateurs, particuliers ou entreprises, une meilleure qualité de service à de meilleurs prix et une diversité de services répondant à leurs attentes.

  • veiller ” à la fourniture et au financement de l’ensemble des composantes du service public des télécommunications “, dont la loi du 31 décembre 2003 a réaffirmé le principe dans un environnement concurrentiel.

Le service public des télécommunications inclut le service universel qui comprend :

– la fourniture à tous d’un service téléphonique de qualité à un prix abordable ;

– la fourniture d’un service de renseignements et un annuaire d’abonnés, sous formes imprimée et électronique ;

– l’accès à des cabines téléphoniques publiques installées sur le domaine public ;

– l’accès aux utilisateurs finaux handicapés au service téléphonique, aux services de renseignements et aux cabines publiques dans des conditions équivalentes à celles dont bénéficient les autres utilisateurs.

  • veiller ” au développement de l’emploi, de l’innovation et de la compétitivité dans le secteur des télécommunications “.

La concurrence ne vaut que si elle est un facteur de développement du marché et de l’économie. Le régulateur, dans ses avis et décisions, s’attache à favoriser l’emploi et l’innovation des entreprises du secteur en préservant un environnement favorable à leur compétitivité.

  • prendre en compte ” l’intérêt des territoires et des utilisateurs dans l’accès aux services et aux équipements “.

La préoccupation de l’aménagement du territoire doit être présente dans les décisions du régulateur, par exemple pour favoriser la couverture mobile et pour étendre le haut débit dans les zones peu denses.

Le cadre juridique actuel des télécommunications (directives de 2002 et transposition en droit français de 2004)

Les textes fondateurs

Les lois adoptées par le Parlement transposent en droit français le nouveau cadre réglementaire du secteur des communications électroniques dont s’est dotée l’Union européenne début 2002. Objectifs visés : adapter le cadre juridique à la convergence des réseaux – qui conduit à séparer plus nettement la réglementation des contenants et des contenus -, rapprocher le droit sectoriel du droit de la concurrence, harmoniser le marché au plan européen.

Source : http://www.arcep.fr/index.php?id=13#c31

 

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FREE mobile – grand public

source : Business mobile

Après avoir acquis 2.2 millions de clients, selon bouygues télécom, ce dernier constate des retours de client vers son offre low cost grand public B&You  (50% des nouveaux clients).

Un sondage sur 1 mois et 6500 votes ne donnent effectivement que 58% des clients satisfaits. Free en est depuis sa mise en service il y a un peu plus de deux mois à sa seconde panne national, Orange menace de remettre en cause son accord d’itinérance et l’ ARCEP envisage une mise en demeure.

On rappel que Free ne couvre seul et visiblement avec une qualité de service aléatoire que 24% de la population selon les contraintes de déploiement de l ‘ARCEP. Free qui ne subventionne pas les mobiles, pourrait souffrir de la prochaine sortie des nouvelles versions de l’iphone 5, du samsung galaxy S3 ou de l’android 5, d’autant plus que les opérateurs accélèrent la mise en service de la 4G (3ème trimestre 2012)

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Arret du minitel

Arrêt du minitel et du service télétel le 30.06.12, Orange récupère les terminaux. La facturation de la location de ces minitels devrait donc s’arrêter.

On peut regretter son usage car malgré tout certain service aujourd’hui seront inexploitable tel que Argus Auto / 3615 (facturé à l’usage pour celui qui vend d’occasion une voiture) obligera l’abonnement au service.

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FINANCEMENT TABLETTE

Un financement en location à taux 0%
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